Les premières chouettes sont en avance d'un jour sur la pleine lune ;
Ce sont les mères des hiboux
Qui désiraient chercher les poux
De leurs enfants, leurs petits choux,
En les tenant sur les genoux.
Leurs yeux d’or valent des bijoux,
Leur bec est dur comme cailloux,
Ils sont doux comme des joujoux,
Mais aux hiboux point de genoux !
Votre histoire se passait où ?
Chez les Zoulous ? les Andalous ?
Ou dans la cabane Bambou ?
À Moscou ou à Tombouctou ?
En Anjou ou dans le Poitou ?
Au Pérou ou chez les Mandchous ?
Hou ! Hou !
Pas du tout c’était chez les fous.
Robert Desnos
Les dix premières pages de Garigo |
Elles sont mimis comme tout, ces chouettes, bravo à toutes !
RépondreSupprimerBises, belle journée.
comme j'aimerais à la fin voir tout nos livres réunis en un même endroit pour pouvoir tous les voir en même temps.......mais ça sera juste sur mon écran.....
RépondreSupprimerbise
Sylvie
J'en rêve à chaque ouvrage !
SupprimerJ'adore ! Lucie
RépondreSupprimerles chouettes sont sympas
RépondreSupprimeret le livre de Garigo très prometteur
je le ferai dès que j'aurai un peu de temps à moi
mais je suis l'aventure de très près
bonne journée à toutes
Des chouettes bien sympas et le poème me ramène quelques années en arrière ...
RépondreSupprimerde bien jolies chouettes ! bises
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